Quand on pense courses hippiques, on pense souvent chevaux et pour les plus aguerris d’entre nous, on commence à s’intéresser aux jockeys.
Mais quand on parle de l’Hippodrome de Vincennes, alors là… c’est un tout autre niveau.
C’est pas juste un hippodrome.
C’est le temple du trot attelé, le cœur battant du turf français, le théâtre des plus grandes joutes hippiques.
Et c’est bien pour ça que tant de turfistes s’y ruent dès qu’une course y est programmée.
Mais au fond 👉 savez-vous vraiment qui tire son épingle du jeu à Vincennes ?
Quels sont les jockeys qui performent non pas en termes de notoriété, mais de rentabilité ?
Vous allez voir que certaines révélations vont bousculer quelques croyances…
Vincennes : l’arène où tout se joue
Avant de plonger dans notre classement, prenons deux minutes pour apprécier ce lieu à part qu’est l’Hippodrome de Vincennes.
Déjà, c’est le seul hippodrome de France dont la piste principale monte — 4 à 5 % de montée sur la ligne opposée !
Une particularité qui ne pardonne pas et qui rend les courses extrêmement sélectives.
Seuls les meilleurs chevaux… et les meilleurs hommes tiennent le choc.
C’est aussi l’hippodrome le plus actif de tout le pays :
📅 153 réunions par an, pour un total de 1255 courses.
Et en 2024 ? Un tiers des Quintés du jour ont eu lieu à Vincennes. (111 sur 364 exactement).
Des chiffres vertigineux… et pourtant, accrochez-vous : Vincennes n’est que 44e au classement des hippodromes les plus rentables de France.
Oui, 44e sur 130. Avec un rapport moyen de 8,62 €.
Comme quoi, la notoriété n’est pas toujours synonyme de gains.
Et c’est justement là qu’intervient notre sujet du jour.
Parce que tout le monde joue à Vincennes… mais peu savent vraiment qui y gagne de l’argent 👀
J’ai mené l’enquête.
Pas en mode “feeling” ou “j’ai l’impression que lui il gagne souvent”, non.
En mode data, chiffres, analyse, grâce à Turf Factory.
J’ai étudié toutes les courses disputées à Vincennes depuis le 1er janvier 2022 : soit 4138 courses.
Et là, j’ai extrait les jockeys les plus rentables, toutes courses confondues, avec 2 € de mise à chaque fois, sans filtres avancés, ni sélection préalable.
Et les résultats sont pour le moins… surprenants.
Les 5 jockeys les plus rentables à Vincennes
- Bonne Damien
- 967 courses
- 8,48 % de réussite
- 🎯 117,6 % de rentabilité
- Écart max : 48 | Écart moyen : 10,48
- Lecanu François
- 203 courses
- 5,91 % de réussite
- 🎯 117,2 % de rentabilité
- Écart max : 32 | Écart moyen : 15,1
- Monclin Jean-Philippe
- 214 courses
- 11,21 % de réussite
- 🎯115 % de rentabilité
- Écart max : 36 | Écart moyen : 6,71
- Mottier Mathieu
- 1762 courses
- 14,19 % de réussite
- 🎯 104 % de rentabilité
- Écart max : 31 | Écart moyen : 6,03
- Martin Guillaume
- 671 courses
- 6,7 % de réussite
- 🎯 97,47 % de rentabilité
- Écart max : 73 | Écart moyen : 13,82
Pas mal, non ? Et là, c’est le moment où je vous vois lever les sourcils.
😲 « Mais… il est où Bazire ? Et Clément Duvaldestin ?! »
Eh oui. Pas dans le top.
Et pourtant, ce sont des pointures. Des noms qui claquent. Des stars du turf.
Mais vous savez quoi ? Justement.
Ce sont aussi les plus joués. Les plus suivis. Les plus “évidents”.
Et donc… les plus surcotés.
Prenez Jean-Michel Bazire :
- 1100 courses à Vincennes sur la période
- 💸 77 % de rentabilité seulement (donc pas rentable)
- Soit 402 € de perte nette pour une mise de 2 € à chaque course
Clément Duvaldestin, notre grand vainqueur du Grand Prix d’Amérique de cette année ?
- Lui aussi n’est pas rentable sur Vincennes.
Et pourtant… je sais quand il devient rentable.
Parce que moi, j’ai Turf Factory. 😏
Tester les idées, au lieu de les croire
C’est ça la clé.
Le but, ce n’est pas de “casser” des idoles.
C’est de remettre la donnée au centre du jeu.
Parce que si vous aviez su, chiffres en main, que Bazire faisait perdre de l’argent en jeu systématique à Vincennes… vous auriez peut-être joué autrement.
Ou vous auriez creusé la question : “OK, il est perdant sur Vincennes… mais est-ce qu’il l’est partout ?”
Et c’est là que Turf Factory devient magique.
Moi, je sais que Clément Duvaldestin, par exemple, devient rentable à 132 % dans un profil précis de course.
Avec seulement 11 d’écart max.
Un pur bijou de stratégie.
Mais ça, vous ne pouvez pas le deviner.
Vous pouvez seulement le découvrir avec un outil adapté.
Et les écarts alors ? C’est trop risqué tout ça ?
Oui, certains résultats bruts comme ceux donnés plus haut présentent des écarts élevés.
Mais déjà, rien que de connaître ces écarts, ça change tout, non ? Parce qu’au lieu de vous lancer tête baissée, vous commencez à comprendre le terrain de jeu.
Et ensuite, qui vous a dit qu’il fallait jouer systématiquement ces jockeys à chaque fois qu’ils se présentent à Vincennes ?
Personne.
Ici, on parle d’une étude brute, dans des conditions basiques, sur toutes les courses.
Mais Turf Factory, c’est justement l’outil qui vous permet d’aller beaucoup plus loin.
Jouer en “mono-stratégie” c’est risqué. Diversifier, c’est intelligent.
Prenons Mottier Mathieu, par exemple. Il a couru plus de 1700 fois à Vincennes depuis le 1er janvier 2022… mais 2000 fois ailleurs aussi.
Et si on trouvait comment le jouer ailleurs, dans les bonnes conditions, avec des écarts maîtrisés ?
Et si on combinait plusieurs profils de jockeys, chacun sur les terrains où ils brillent ?
👉 C’est exactement ce que fait Marvin, utilisateur de Turf Factory, qui a bâti une stratégie globale uniquement avec le module jockeys / entraîneurs / propriétaires :
- 👛 Capital de départ : 50 €
- 📈 Multiplicateur de capital : x41 (Marvin a donc réalisé 2000€ de bénéfice net mais s’il avait commencé avec 200€ de capital de départ, par exemple, il aurait généré 8200€ de bénéfice !)
- ✅ Rentabilité : 142 %
- 🧯 Écart max : 16 | Écart moyen : 2,28
- 🧠 4 stratégies utilisées… alors qu’il pourrait en jouer jusqu’à 10 !
Et ça, aucun prono, aucun tuyau, aucun flair, ne peut vous le donner.
Seule une vraie analyse permet ce genre de résultat.
Et si vous voulez voir la stratégie de Marvin plus en détail et voir, aussi, comment les autres utilisateurs s’en sortent, jetez un œil ici 👇
🔗 Page Communauté Turf Factory
Comme un trader qui diversifie son portefeuille
Dans le monde de la finance, aucun investisseur sérieux ne met tous ses œufs dans le même panier.
Un trader ne parie pas tout sur une seule action. Un banquier ne vous conseille jamais de miser votre épargne sur un seul support.
Au contraire, ils diversifient leur portefeuille.
Ils choisissent des actifs complémentaires, capables de compenser les baisses des uns par les hausses des autres.
Et ce principe, aux courses… il est tout aussi valable.
Avec Turf Factory, vous pouvez faire exactement la même chose.
👉 Construire plusieurs stratégies indépendantes, chacune ciblant un jockey ou un entraîneur sur un terrain où il est rentable.
👉 Et les faire cohabiter dans une stratégie globale, qui lisse les écarts, répartit le risque, et stabilise vos gains.
C’est ça, le trading hippique. Et c’est là que le jeu devient vraiment passionnant.
Conclusion : vous croyez connaître vos jockeys… jusqu’à ce que vous testiez vraiment
Vous pensiez que Bazire était la valeur sûre ? Qu’un nom connu suffisait à garantir des gains ?
Alors cet article vous aura, je l’espère, fait ouvrir une porte.
Une porte vers une façon de jouer plus intelligente, plus méthodique, plus stratégique.
Et ça ne veut pas dire qu’il faut abandonner vos jockeys favoris (Soumillon, Guyon, Nivard, Lebourgeois, Abrivard…)
Ça veut juste dire qu’il est peut-être temps de découvrir comment les jouer pour qu’ils vous fassent gagner.
Et ça… c’est ce que Turf Factory permet.
Grâce à son module avancé Jockeys – Entraîneurs – Propriétaires, vous pouvez :
- Tester n’importe quel acteur, sur n’importe quel hippodrome, sur n’importe quelle discipline, n’importe quelle saison, réunion…
- Découvrir ses zones de performance
- Construire une stratégie sur mesure, appuyée sur des résultats concrets
🎥 Découvrez le module en vidéo ici (vous y découvrirez encore d’autres exemples que ceux donnés dans cet article 😉 ) :
Envie d’aller plus loin ?
On vous dévoile le Top 5 des entraîneurs à Vincennes.
Spoiler : là aussi, vous risquez d’être surpris. 😉
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