Dans le monde des courses hippiques, certains noms reviennent sans cesse.
Des références, des stars, des valeurs sûres.
Maxime Guyon, Mickaël Barzalona, Cristian Demuro…
Des jockeys qu’on admire, qu’on respecte et que l’on suit, parfois, un peu les yeux fermés.
Mais… est-ce vraiment avec eux que vous gagnerez de l’argent ?
- 👉 Est-ce parce qu’ils gagnent souvent qu’il est rentable de miser sur eux ?
- 👉 Est-ce que leur succès apparent se traduit, pour vous, par un bénéfice à la fin de l’année ?
C’est la vraie question parce qu’à la fin, une seule chose compte vraiment pour un turfiste sérieux : la rentabilité.
Et aujourd’hui, pour la première fois, nous allons y répondre non pas avec des « on-dit », mais avec des chiffres.
Des chiffres que vous n’avez jamais vus ailleurs, préparez-vous : certaines révélations vont peut-être vous surprendre.
Qu’est-ce qu’un jockey de plat ?
Avant de plonger dans les révélations, posons d’abord le décor.
Un jockey de plat, c’est un athlète spécialisé dans la discipline du plat :
- 👉 Des courses rapides, sans obstacles, sur des distances allant de 1 000 à 4 000 mètres.
- 👉 Une discipline où l’intelligence tactique, le sens de la position et la vitesse d’exécution font toute la différence.
En France, un jockey de plat est exclusivement dédié à cette discipline.
Il ne court pas en trot, ni en obstacle, chacun son terrain, chacun sa spécialité, et comme dans tous les sports de haut niveau, les meilleurs sont récompensés chaque année.
Ici, la distinction s’appelle : la Cravache d’Or.
La Cravache d’Or : la consécration du meilleur jockey de plat
La Cravache d’Or est décernée au jockey ayant remporté le plus grand nombre de victoires sur une année.
Simple, clair, brutal.
👉 Celui qui gagne le plus, décroche le titre.
Le classement des meilleurs jockeys de plat en 2024 (classement à jour)
En 2024, voici le classement des meilleurs jockeys de plat :
- Maxime Guyon (Cravache d’Or pour la troisième année consécutive)
- Mickaël Barzalona
- Alexis Pouchin
- Cristian Demuro
- Antonio Orani
Des pointures, des visages connus et derrière chacun, une histoire.
👉 Mais aussi, des chiffres qui en disent bien plus long que les apparences…
Présentation rapide des 5 jockeys stars de 2024
Avant de plonger dans les chiffres, prenons un instant pour découvrir ces jockeys qui font vibrer les hippodromes. Derrière chaque nom, une histoire, une passion, un parcours unique.

Maxime Guyon – Le technicien globe-trotter
Âge : 35 ans
Débuts professionnels : 2005, à 16 ans
Origines : Formé à l’AFASEC de Gouvieux, il a rapidement gravi les échelons pour devenir l’un des jockeys les plus respectés.
Coup d’œil en coulisses : Avant de se consacrer pleinement aux courses, Maxime a atteint un niveau national en taekwondo et est passionné de sports extrêmes comme le parapente et le surf.

Mickaël Barzalona – Le showman de Godolphin
Âge : 33 ans
Débuts professionnels : 2009, à 18 ans
Origines : Issu d’une famille de turfistes, son grand-père était entraîneur en Corse et son oncle jockey.
Coup d’œil en coulisses : En 2011, lors de sa victoire dans le Derby d’Epsom avec Pour Moi, il s’est levé en selle avant la ligne d’arrivée pour célébrer, une image devenue légendaire.

Alexis Pouchin – Le prodige de Chantilly
Âge : 24 ans
Débuts professionnels : 2016, à 15 ans
Origines : Fils de Joël Pouchin, chef lad chez André Fabre, Alexis a grandi dans les écuries de Chantilly, baignant dans l’univers des courses dès son plus jeune âge.
Coup d’œil en coulisses : Il a remporté son premier Groupe 1 en France à seulement 22 ans, une ascension fulgurante qui en fait l’un des jockeys les plus prometteurs de sa génération.

Cristian Demuro – L’Italien au panache français
Âge : 32 ans
Débuts professionnels : 2009, à 17 ans
Origines : Frère cadet de Mirco Demuro, également jockey, Cristian a été champion jockey en Italie avant de s’imposer en France.
Coup d’œil en coulisses : Il a remporté deux fois le prestigieux Prix de l’Arc de Triomphe, en 2020 avec Sottsass et en 2023 avec Ace Impact, un exploit rare pour un jockey étranger en France.

Antonio Orani – Le talent venu de Sardaigne
Âge : 25 ans
Débuts professionnels : 2016, à 16 ans
Origines : Originaire d’Usini, un petit village sarde, Antonio a dû quitter l’Italie après la fermeture de l’école de courses pour poursuivre son rêve en France.
Coup d’œil en coulisses : En 2023, il a franchi le cap des 100 victoires en une saison, une performance remarquable qui le place parmi les jockeys en pleine ascension.
Pourquoi ces jockeys dominent-ils cette saison ?
Tous ces jockeys partagent :
- Une collaboration étroite avec les meilleures écuries
- Une excellente condition physique
- Un sens tactique affûté
Mais… est-ce suffisant ?
Peut-on vraiment gagner de l’argent avec ces jockeys ?
Si vous êtes turfiste, vous vous êtes forcément posé cette question :
👉 Est-ce que miser sur un cheval monté par l’un de ces jockeys est un gage de succès ?
Si vous hésitez entre plusieurs chevaux sur une course : Est-ce que vous pouvez simplement choisir celui monté par un Guyon, un Barzalona, un Demuro… et dormir tranquille ?
📍 En d’autres termes : Le nombre de victoires d’un jockey garantit-il votre rentabilité ?
La réponse est beaucoup moins évidente qu’il n’y paraît ; Parce que oui, il est tout à fait possible d’avoir un excellent taux de réussite…
Et pourtant de perdre de l’argent et cela pour deux raisons majeures :
- Des écarts entre victoires parfois énormes, rendant la gestion du capital extrêmement délicate.
- Des rapports souvent trop faibles (parce que les chevaux de ces jockeys sont très joués)
Dans cet article, nous allons donc :
- ✅ Analyser les performances de ces 5 jockeys sur toute l’année 2024,
- ✅ Étendre l’étude sur une période plus large : depuis le 1ᵉʳ janvier 2022, soit plus de 3 ans et 5 mois de courses.
L’idée : avoir du recul et ne pas tirer des conclusions hâtives sur quelques mois.
Prêt pour le grand plongeon ?
Analyse chiffrée : rentabilité réelle depuis 2022
Comment a été réalisée cette analyse ?
Avant de vous dévoiler les chiffres, petit point méthodologique.
Méthodologie de l’étude (mise fixe de 2 €)
Pour chaque jockey analysé, on a tout simplement considéré la chose suivante :
👉 Et si on avait misé 2 € à masse égale sur le cheval monté par ce jockey, chaque fois qu’il se présentait en course ?
L’objectif : 🔍 Voir si le simple fait de “suivre l’un des meilleurs jockey du Top 5” permettait d’être rentable sur le long terme.
On a donc :
- Pris l’ensemble des courses disputées par chaque jockey en 2024 et depuis le 1ᵉʳ janvier 2022,
- Appliqué une mise fixe de 2 € à chaque départ,
- Calculé les bénéfices ou les pertes nets obtenus,
- Et analysé les écarts maxi, écarts moyens, et rapports moyens.
- Pour rappel, un taux de rentabilité inférieur à 100 % signifie que chaque euro misé rapporte moins d’un euro… autrement dit, on est en perte.
Spoiler : les résultats sont loin d’être ceux qu’on imagine.
Résultats détaillés par jockey
5️⃣ Antonio Orani (5ᵉ du classement)
Sur le papier : solide.
Sur le portefeuille : beaucoup moins.
Année 2024 | Depuis le 1er janvier 2022 | |
---|---|---|
Rentabilité | 📉 80,25% | 📉 92,69% |
Perte nette | 🔴 -238,2€ | 🔴 -258,6€ |
Écart moyen (nombre moyen de courses perdues entre deux victoires) | 5,46 | 5,58 |
Écart maxi (plus grand nombre de courses perdues consécutives entre deux victoires) | 40 | 47 |
Rapport moyen (pour 1€) | 5,26€ | 6,1€ |
Et si vous vous dites : « Oui mais avec une bonne gestion financière, ça aurait marché… » Et bien non.
Trois gestions progressives (donc vraiment pas les gestions les plus virulentes !) testées, trois catastrophes :
- -381 € 🔴
- -193 € 🔴
- -1370 € de pertes nettes 🔴
4️⃣ Cristian Demuro (4ᵉ du classement)
Un des plus connus. Un des plus performants sur la scène européenne.
Mais pour votre compte en banque…?
Année 2024 | Depuis le 1er janvier 2022 | |
---|---|---|
Rentabilité | 📉 81,61% | 📉 85,25% |
Perte nette | 🔴 -355,2€ | 🔴 -1003,8€ |
Écart moyen (nombre moyen de courses perdues entre deux victoires) | 6,78 | 6,08 |
Écart maxi (plus grand nombre de courses perdues consécutives entre deux victoires) | 40 | 58 |
Rapport moyen (pour 1€) | 6,36€ | 6,05€ |
3️⃣ Alexis Pouchin (3ᵉ du classement)
Enfin un petit espoir ?
Année 2024 | Depuis le 1er janvier 2022 | |
---|---|---|
Rentabilité | 📉 97,12% | 📉 91,36% |
Perte nette | 🔴 -63,8€ | 🔴 -500€ |
Écart moyen (nombre moyen de courses perdues entre deux victoires) | 6,49 | 7,49 |
Écart maxi (plus grand nombre de courses perdues consécutives entre deux victoires) | 32 | 45 |
Rapport moyen (pour 1€) | 7,27€ | 7,75€ |
Pas rentable… mais on commence à entrevoir des marges de manœuvre.
2️⃣ Mickaël Barzalona (2ᵉ du classement)
Le phénomène. L’étoile du plat.
Année 2024 | Depuis le 1er janvier 2022 | |
---|---|---|
Rentabilité | 📉 84,69% | 📉 90,62% |
Perte nette | 🔴 -343,8€ | 🔴 -617,2€ |
Écart moyen (nombre moyen de courses perdues entre deux victoires) | 4,48 | 4,42 |
Écart maxi (plus grand nombre de courses perdues consécutives entre deux victoires) | 28 | 31 |
Rapport moyen (pour 1€) | 4,66€ | 4,91€ |
1️⃣ Maxime Guyon (1ᵉʳ du classement)
Le numéro 1 incontesté en terme de victoires. Mais en terme de gains turfistes…?
Année 2024 | Depuis le 1er janvier 2022 | |
---|---|---|
Rentabilité | 📉 87,58% | 📉 81,54% |
Perte nette | 🔴 -356,6€ | 🔴 -1737,6€ |
Écart moyen (nombre moyen de courses perdues entre deux victoires) | 4,88 | 4,85 |
Écart maxi (plus grand nombre de courses perdues consécutives entre deux victoires) | 28 | 36 |
Rapport moyen (pour 1€) | 5,15€ | 4,79€ |
Ce que révèlent les chiffres : jouer au hasard, c’est perdre
Concrètement : Aucun des jockeys du Top 5 du classement plat 2024 — pas même Maxime Guyon, Cravache d’Or depuis 3 années consécutives — ne permet de gagner de l’argent en les suivant à chaque course. PAS UN SEUL !
Alors oui, ils remportent des courses, ils accumulent les victoires, ils font rêver ; Mais si vous les jouez à chaque fois qu’ils se présentent, vous perdez. Systématiquement. Et ça c’est plus qu’une info, c’est un électrochoc !
Un jockey peut être une « star », aligner les victoires… Mais s’il est systématiquement surjoué par le public, les rapports chutent. Et au final, le turfiste régulier perd de l’argent.
Sans analyse, sans chiffres, sans recul, impossible de construire une approche rentable.
Et là, certains vont me dire : « Oui mais enfin, faut pas les jouer systématiquement, c’est évident, donc votre analyse ne veut rien dire. »
Ce commentaire, je l’ai lu des dizaines de fois et je l’attends à chaque article parce que c’est le réflexe classique du Turfiste face à la désillusion : se raccrocher à ce qu’il croit déjà savoir plutôt que de reconnaître qu’il vient peut-être d’apprendre quelque chose d’essentiel.
Alors posons les choses une bonne fois pour toutes :
👉 Oui, vous avez raison. Il ne faut pas jouer un jockey systématiquement.
Mais… je n’ai jamais dit le contraire ! Au contraire, je viens justement de le démontrer noir sur blanc avec des chiffres et avec des preuves.
Et déjà, ça, c’est quelque chose que vous n’aviez jamais vu avant parce que même si vous saviez déjà qu’il ne fallait pas jouer un jockey à chaque fois : vous n’aviez aucune idée de ce que ça donnait en rentabilité réelle, vous ne connaissiez ni les écarts, ni l’écart moyen et encore moins l’impact d’une gestion financière dessus.
Vous connaissiez leur nombre de victoires, leur popularité, leur position au classement… Mais pas leur vraie rentabilité dans une logique de jeu.
Alors non, cette analyse n’est pas inutile ; Au contraire, elle est inédite et elle vous donne enfin une base réelle sur laquelle réfléchir.
📍 Mais la vraie question, la seule qui compte, c’est : Puisqu’on ne doit pas les jouer tout le temps… on les joue quand, alors ?
Les bonnes conditions pour rentabiliser ces jockeys
Et c’est là que les choses sérieuses commencent parce que cette réponse-là, vous ne l’avez nulle part ailleurs. Et c’est exactement ce que je vais vous montrer maintenant !
Alors au lieu de refermer la page en vous disant “je savais déjà”, restez !
Parce que si vous êtes honnête avec vous-même : vous ne savez pas dans quelles conditions précises il faut jouer ces jockeys pour être rentable. Et surtout : Vous n’avez jamais pu tester vos intuitions, ni les vérifier.
Et c’est tout l’objet de ce qui suit : Vous donner les preuves, les contextes, les bons profils, et les résultats concrets qui en découlent.
Pas des suppositions, pas des idées floues mais juste des données, des résultats et une VRAIE stratégie.
👉 La vraie question ce n’est pas « qui est le meilleur jockey ? » – c’est : QUAND et COMMENT jouer les meilleurs jockeys de plat pour être rentable ?
Car c’est la seule voie vers la rentabilité.
Pouchin en hiver → +115 %
Prenons Alexis Pouchin.
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2022 jusqu’à aujourd’hui, sur plus de 40 mois d’analyse, il affiche 90 % de rentabilité toutes courses confondues, donc concrètement : Si j’avais posé 2€ sur chacune de ses participations sans filtre,
👉 J’aurais perdu 533 € 💸
Mais si j’avais pris un seul critère, UN SEUL !
👉 Le jouer seulement en hiver (janvier, février, mars)
Alors là, nous obtenons :
- 📈 +115 % de rentabilité
- 🟢 +196 € de bénéfice net à 2€ de mise.
À masse égale ! Rien qu’en changeant UN SEUL paramètre !
Et si on affine encore ?
En jouant Pouchin en hiver et printemps (janvier à juin), et seulement sur les courses 1, 2, 5, 8 et 9,
👉 On grimpe à 129 % de rentabilité.
👉 Sur plus de 740 courses jouées.
👉 Toujours à masse égale. Sans gestion complexe.
Être rentable sans gestion financière agressive, sur autant de courses, ce n’est pas du hasard → C’est de la stratégie !
Et Barzalona alors ?
Barzalona à Longchamp → +110 %
Barzalona, cravache d’or 2021…
Sur plus de 3000 courses depuis 2022 : 👉 605 € de perte nette à 2€ de mise à masse égale.
Mais… Si vous aviez joué Barzalona uniquement sur les courses de 10 partants ?
🟢 110 % de rentabilité.
Et si vous ne regardez même plus le nombre de partants, mais simplement l’hippodrome ?
Jouer Barzalona uniquement quand il se présente sur Paris-Longchamp ?
🚀110,04 % de rentabilité !
Non mais, imaginez un instant… Imaginez pouvoir faire ça avec tous les jockeys ! Imaginez jouer VOS jockeys favoris…
Mais en sachant exactement :
- Quand les jouer,
- Où les jouer,
- Dans quelles conditions ils vous rapporteront réellement.
Imaginez pouvoir construire une stratégie rentable pour chacun d’eux.
Puis les cumuler dans une « stratégie globale » 👉 Un super plan de jeu, solide, fiable, basé sur des données réelles. Pas sur des « on-dit », pas sur des croyances.
Une stratégie combinée puissante : +1484 € avec les meilleurs jockeys de plat
Pour illustrer, j’ai spécialement préparé une super stratégie combinant nos 5 jockeys analysés ici :
Guyon, Barzalona, Pouchin, Demuro, Orani.
En 10 minutes de recherche, j’ai pu trouver les conditions optimales de chacun d’entre eux et voici les résultats que j’ai obtenus depuis le 1er janvier 2022 :
- 🟢 1484 € de bénéfice net à masse égale
- Avec seulement 2 € de mise de base
- Un capital de départ de 100 € suffisait (car le plus gros découvert n’a jamais dépassé 80 €).
Résultat : 👉 Capital multiplié par 15 📈
Pas en pariant au petit bonheur ni en rêvant d’un jackpot qui n’existe pas mais en travaillant intelligemment avec des chiffres !
Et si j’avais appliqué une gestion financière progressive ?
- 🟢 3269 € de bénéfice net
- 143,26 % de rentabilité 💥
- Capital multiplié par 33 🚀
Oui, vous avez bien lu → +3269 € de bénéfice net. Avec simplement 5 jockeys. Et 10 minutes de recherches.
Projetez-vous un instant… Avec 5 jockeys, vous pouvez générer 83 € de bénéfice net par mois en moyenne ! Avec seulement 2 € de mise de base et avec un capital de départ de 100 € seulement.
Imaginez si vous élargissez votre jeu : À d’autres jockeys, à d’autres entraîneurs ou même à d’autres disciplines…
Les possibilités sont immenses !
Comment accéder à toutes ces données avec Turf Factory
À ce stade, une question naturelle se pose :
👉 Où trouve-t-on tous ces chiffres ? Où peut-on tester toutes ces idées ?
Sur internet ? Non.
Sur ChatGPT ? Non plus.
Ces chiffres sont inaccessibles ailleurs. Ils viennent de Turf Factory.

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Vous ne trouverez aucun de ces noms dans le top des classements officiels,
Et pourtant, ils explosent les compteurs… à masse égale !
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(Rentabilités calculées depuis le 1ᵉʳ janvier 2022, toujours à 2€ de mise)
Saison | Jockey | Rentabilité (%) |
---|---|---|
Hiver | Gutierrez | 160,88 |
Hiver | Werle | 122,68 |
Automne | Guedj-gay | 125,02 |
Automne | Lebouc | 120,18 |
Printemps | Bazire P. | 162,09 |
Printemps | Gutierrez | 124,09 |
Été | Valle Skar | 121,74 |
Été | Guedj-gay | 116,62 |
Conclusion : arrêtez de suivre les stars à l’aveugle
On vient de le voir noir sur blanc :
👉 Ce ne sont pas toujours les jockeys les plus connus, les plus titrés, ou les plus cités qui rapportent le plus.
Et si vous étiez passé à côté de ces pépites ?
Et si, à force de suivre les noms qui brillent, vous aviez laissé filer ceux qui gagnent vraiment ?
La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez désormais faire autrement.
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Mais ça, ce n’est pas le fruit du hasard.
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