Il est l’un des noms les plus connus du paysage hippique français.
Dominique Cordier publie ses pronostics chaque jour, en particulier pour la course du Quinté+. Il est suivi par des milliers de turfistes fidèles à la recherche d’un bon tuyau, d’un éclairage fiable, d’un expert à suivre…
On connaît bien cette quête, elle est vieille comme les courses.
Mais alors, que valent vraiment les pronostics de Dominique Cordier ? Sont-ils fiables, rentables, cohérents dans le temps ?
Nous avons mené l’enquête.
Qui est Dominique Cordier, pronostiqueur du Quinté+ ?
Dominique Cordier est certainement l’un des pronostiqueurs les plus médiatisés dans l’univers des courses hippiques françaises. Journaliste hippique de formation, il a longtemps collaboré avec Le Parisien où il signait quotidiennement son pronostic pour le Quinté+.
Il s’est aussi fait connaître sur la chaîne YouTube de Canal Turf, où ses vidéos cumulaient des milliers de vues, et où il présentait avec sa verve habituelle son analyse du Quinté+ du jour.
Dominique Cordier est également cofondateur d’Équidia… son CV laisse peu de doute : il connaît le domaine des courses hippiques sur le bout des doigts.
Aujourd’hui, on le retrouve notamment sur RTL, où il continue de livrer son pronostic du Quinté à la radio. C’est un habitué des médias et il revendique une approche à la fois personnelle, intuitive et un brin provocante.
Où trouver les pronostics de Dominique Cordier ?
- Sur RTL : il intervient en radio, notamment dans les matinales, pour livrer ses chevaux à suivre.
- Sur LeParisien.fr : pendant longtemps, son pronostic était disponible chaque jour dans la rubrique « Turf ».
- Sur Canal Turf (YouTube) : jusqu’à récemment, il y animait une chronique très suivie.
- Sur des forums et réseaux sociaux : ses sélections sont souvent reprises, débattues, recopiées… sans jamais de source officielle vérifiable.
On peut aussi retrouver ses pronostics diffusés ou commentés dans certains forums turf, parfois relayés dans les commentaires de sites comme Geny ou Turfomania.
Mais ce qui frappe tout de suite, c’est qu’il n’existe aucune base officielle, ni aucun historique récapitulatif de ses performances.
Impossible de consulter un simple tableau de performances ❌ , impossible de savoir combien de fois son cheval de base est passé à l’arrivée ❌, impossible de suivre l’évolution de ses scores au fil des mois ❌.
Et c’est là que les premières limites apparaissent parce qu’il devient impossible, donc, pour le turfiste d’évaluer objectivement ce que vaut la méthode Cordier.
Fiabilité des pronostics de Dominique Cordier : est-ce mesurable ?
Malheureusement, non. Sans statistiques, on reste dans le flou : rentabilité, écart, régularité… rien n’est quantifié.
Faites le test : il n’existe… rien.
Avant de poursuivre, prenez une minute. Lancez Google, et tapez :
🔍 “performance pronostic Dominique Cordier”
🔍 “rentabilité Dominique Cordier Quinté”
🔍 “taux de réussite pronostic Cordier”
Rien.
Strictement aucun chiffre. Aucun historique. Aucune donnée factuelle. Rien à se mettre sous la dent pour évaluer ce que valent réellement ses sélections.
Même lui, à moins qu’il tienne un tableur Excel personnel depuis 15 ans (ce dont je doute), ne sait pas précisément quel est le taux de réussite ou de rentabilité de ses propres pronostics.
Et vous pouvez prolonger l’expérience en vous rendant sur les anciennes vidéos YouTube de la chaîne Canalturf, où Dominique Cordier présentait son pronostic pour la course du Quinté et jetez un œil aux commentaires.
C’est un festival.
Un retour mitigé de la communauté
Certains le félicitent :

D’autres le descendent :

Et au milieu, une multitude d’interventions où chacun donne… son propre pronostic, ou critique celui de Cordier selon ses préférences du jour.
Mais sur quelle base tout ça repose-t-il ? Sur quoi ces gens s’appuient-ils pour juger ou valider un prono ?
Ont-ils eux-mêmes pris le soin de suivre le pronostic pendant 6 mois pour vérifier les résultats ?
Ou se fient-ils à une impression, un ressenti, un jour de chance… ou de malchance ?
Et là, on touche à l’absurde :
On a un pronostiqueur qui donne des chevaux sur la base de ses connaissances, de son flair ou de ses envies — sans aucun recul statistique,
Et on a un public qui réagit avec ses propres préférences, sa chance du jour, ou son prisme émotionnel — sans aucune méthodologie d’analyse.
Résultat : deux subjectivités qui s’affrontent… dans le vide.
Et c’est bien là tout le problème. On navigue dans le flou. Chacun donne son avis, son ressenti… mais aucune donnée, aucun chiffre, aucune preuve ne permet de trancher.
Le vrai fond du problème : la subjectivité
Pour rédiger cet article, j’ai bien entendu visionné des vidéos de Dominique Cordier et je n’ai pas pu m’empêcher de tiquer sur les formulations qu’il utilise :
« Une autre base que j’aime bien…”
“Un cheval qui me plaît…”
Et là, tout est dit.
Le prono est affectif. Il repose sur des préférences personnelles, une intuition, une expérience certes précieuse, mais pas une démarche objective.
C’est une tendance classique chez les pronostiqueurs “à l’ancienne” :
✔️ On suit les “stars” du moment.
✔️ On évite de prendre trop de risques pour ne pas passer pour un hurluberlu.
✔️ On essaye de satisfaire son audience en proposant des chevaux “attendus”.
Résultat : des pronostics très consensuels, souvent très favoris… donc très peu rentables.
Et surtout aucune transparence sur les résultats, rien n’est quantifié, rien n’est testé sur un historique…
Et ce n’est pas un reproche personnel mais plutôt un constat structurel ; Un pronostiqueur comme Dominique Cordier s’adresse à une communauté de passionnés.
Et pour continuer à plaire, il doit donner des chevaux qui font consensus, donc il ne peut pas trop s’écarter des favoris, ni trop « sortir du cadre ».
Parce qu’un prono qui étonne, qui dérange, qui tente un “vrai coup de poker”… s’il échoue, est immédiatement critiqué.
Et s’il réussit, on dira que c’était de la chance.
Donc pour ménager sa réputation, il reste dans une zone de confort. Une zone floue, sans chiffres, sans test, sans preuve.
Pourquoi c’est (presque) impossible de juger un pronostiqueur à l’aveugle ?
Ne croyons pas que ce flou artistique est propre à Dominique Cordier.
C’est le cas de TOUS les pronostics traditionnels : PMU, Zeturf, Génybet, Turfomania, Paris Turf… Aucun ne donne d’indication sur :
- la rentabilité à masse égale,
- l’écart moyen ou maximal,
- le taux de réussite chiffré,
- les conditions spécifiques de réussite.
👉 D’ailleurs, dans notre article « On a suivi le pronostic PMU pendant 30 jours : jackpot ou ruine ? », on prouve noir sur blanc que le pronostic du PMU affiche un taux de rentabilité de seulement 84%. Soit 16% de pertes brutes.
Et pourtant, c’est le pronostic de référence pour des millions de turfistes.
Alors que penser d’un pronostic comme celui de Dominique Cordier, qui ne donne que des chevaux pour le Quinté+, c’est-à-dire le pari le plus complexe de tous, où il faut déjà 1 chance sur 524 160 pour trouver les 5 chevaux dans l’ordre sur une course de 16 partants ?
Un pronostiqueur peut publier des centaines de pronostics par an sans jamais publier un seul bilan. Aucun compte à rendre. Aucune vérification possible. Imaginez ça dans n’importe quel autre domaine d’analyse…
Et quand bien même les pronostics de Dominique Cordier permettraient de gagner de temps en temps un « Bonus 3”… on a de quoi se questionner :
Combien de pertes avant ce coup-là ? Combien après ? Quel bilan à long terme ? 💸
Viser un Bonus 3 à 50€ de gain, après avoir misé pendant 30 jours de suite sans toucher une fois… on est bien loin d’un modèle rentable.
D’ailleurs, au risque d’être provocateurs : à ce stade-là, il vaudrait presque mieux gratter un Amigo ou un Cash à 5€.
Le rapport chance/coût y est parfois plus avantageux.
Le vrai problème : aucun chiffre. Juste de la croyance.
C’est là tout le nœud du problème.
Un bon pronostic, ce n’est pas de sortir UN gagnant de temps en temps ou UNE bonne base une fois par semaine. C’est de proposer une méthode qui tient dans le temps, qui encaisse les mauvais jours, qui peut s’optimiser et s’adapter.
Sans données précises, vous ne saurez jamais :
- Si la méthode est réellement rentable.
- Si vous êtes dans une mauvaise passe ou si vous vous faites ruiner lentement mais sûrement.
- Si vous devez arrêter, modifier, ou continuer à faire confiance au pronostiqueur.
Vous vous retrouvez à jouer comme dans le noir, avec pour seule lampe de poche une « intuition » – qui, rappelons-le, ne vous appartient même pas, puisque vous suivez celle d’un autre.
Et sans surprise, jouer dans le noir guide la plupart des turfistes vers un ressenti… négatif

Ce commentaire, laissé sous l’une des vidéos de Dominique Cordier, est un exemple flagrant de ce qu’on peut lire un peu partout sur les réseaux et YouTube :
“Y a rien d’intéressant, c’est que de la magouille […] ils bouffent tous à la même table […] tous les jeux à la poubelle…”
On sent ici une réelle colère, presque une forme de détresse, d’un turfiste visiblement lassé de perdre, frustré par l’absence de résultats, et convaincu que le système est truqué.
Mais ce qu’il exprime, c’est aussi (et surtout) le symptôme d’un mal bien plus profond : celui d’un joueur qui joue sans outil, sans données, sans méthode.
Et qui, à force d’échecs répétés, finit par chercher un coupable extérieur.
Le problème ? C’est qu’en jouant “les yeux fermés”, comme il l’écrit lui-même, il s’est lui-même condamné à perdre dès le départ.
Il s’en prend aux bonus supprimés, aux favoris battus, à la présence de tocards dans le trio… Mais ce qu’il oublie, c’est que les règles sont les mêmes pour tous, et que rien ne l’oblige à parier sans recul, sans test préalable, sans stratégie.
Et surtout : aucun joueur ne devrait miser sur un pronostic (qu’il vienne de Dominique Cordier ou d’un autre) sans connaître sa rentabilité réelle. Sans avoir mesuré les écarts. Sans savoir sur quelle période ce pronostic est performant. Sans comprendre sur quelles bases il est construit.
Autrement dit : ce turfiste-là s’agace d’un système qu’il continue de suivre aveuglément (mais volontairement), sans jamais avoir exigé la moindre transparence, sans jamais avoir cherché à reprendre la main sur sa manière de jouer.
Et c’est là toute l’ambiguïté :
👉 Les turfistes se plaignent du flou… mais refusent souvent de sortir de ce flou.
👉 Ils crient à la triche… mais jouent encore et toujours les chevaux “sentis” ou les “tuyaux du jour”.
👉 Ils perdent… mais ne savent même pas pourquoi.
Et ça, ce n’est pas une fatalité. C’est un choix.
Alors la vraie question devient : combien de temps encore certains vont-ils continuer à s’acharner contre un système qu’ils alimentent eux-mêmes… sans jamais remettre en cause leur manière de jouer ?
Existe-t-il une alternative plus sérieuse ? Oui : Turf Factory
Ce constat, c’est celui qui nous a poussés à créer Turf Factory.
Une plateforme qui, à la différence des pronostiqueurs/pronostics classiques, permet de :
- tester des stratégies sur plusieurs années d’historique,
- mesurer leur taux de rentabilité,
- analyser les écarts et gérer ces derniers en temps réel lors des jeux réels, d’analyser les performances par saison, par hippodrome, par nombre de partants,
- cibler les meilleurs chevaux, jockeys, entraîneurs, propriétaires…
- et même d’accéder à une IA exclusive pour détecter des tocards rentables.
Et surtout, Turf Factory ne se contente pas de vous dire quoi jouer. Il vous montre COMMENT et POURQUOI.
Avec Turf Factory, ce n’est plus un pronostiqueur qu’on suit les yeux fermés.
C’est votre propre méthode que vous construisez, testez, ajustez, et pilotez de A à Z.
Seule une approche rigoureuse — backtests historiques, rentabilité validée, gestion des écarts — permet d’assurer une stratégie solide. C’est en ça que Turf Factory fait la différence : un outil sérieux, transparent et chiffré, permettant au turfiste de tester avant de jouer, et ainsi de prendre des décisions éclairées.

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Les pronostics de Dominique Cordier : Une passion ? Oui. Une stratégie de gains ? Non.
Si vous aimez les chevaux, les émotions, le plaisir du jeu, le frisson du “sait-on jamais”, alors suivre un pronostic comme celui de Dominique Cordier peut tout à fait entrer dans votre logique.
Mais si vous voulez réellement gagner de l’argent, durablement, avec une stratégie cohérente, testée, mesurée…
Alors non, ce n’est pas une solution viable.
👉 Une sélection donnée à la voix, sans historique, sans recul, avec un cheval qu’on “aime bien”… ce n’est pas une base stratégique.
👉 C’est un loisir. Ce n’est pas une méthode.
👉 C’est une opinion. Pas une preuve.
Il y a une énorme différence entre :
- un pronostic donné par un journaliste (aussi connu soit-il), sans historique, sans preuve, sans responsabilité…
- et une stratégie que vous construisez vous-même, testez, optimisez, maîtrisez, et adaptez dans le temps.
Entre croire et savoir, il y a un monde. Et c’est dans ce monde que Turf Factory évolue.
Conclusion : et vous, vous choisissez quoi ?
Nous ne remettons pas en cause la passion, la culture hippique ou le parcours de Dominique Cordier.
Mais si votre objectif est de gagner durablement, alors il faut ouvrir les yeux :
❌ Son pronostic n’est pas mesurable.
❌ Il n’est pas suivi de résultats vérifiables.
❌ Il repose sur une course (la course du Quinté+) aux probabilités absurdes.
❌ Et il est jugé par des gens qui n’ont eux-mêmes aucun recul.
Un prono donné sans preuve.
Jugé par un turfiste qui ne connaît pas ses propres résultats.
Sur une course où il y a 1 chance sur 524 160 de trouver l’ordre.
Ça fait réfléchir, non ?
📌 Ce n’est pas la passion qu’on dénonce ici. C’est l’illusion.
Si vous aimez les chevaux, les émotions, les bases “qu’on aime bien”, vous pouvez continuer à suivre ce genre de pronostics.
Mais pour ceux qui en ont assez de jouer à l’aveugle, qui veulent savoir ce qui fonctionne vraiment, ce qui est rentable à long terme, ce qui peut vous faire gagner de l’argent sans mythe ni promesse, il existe une autre voie : analyser et tester sur un historique réel, calibrer les conditions, les courses, les acteurs, et mesurer la rentabilité. C’est la démarche proposée par Turf Factory, où chaque stratégie est testée sur plusieurs années avec IA et gestion des écarts intégrées.

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FAQ – Tout ce que vous devez savoir sur le pronostic de Dominique Cordier
Dominique Cordier est-il un bon pronostiqueur ?
Impossible de le dire sans historique chiffré. Aucune base de données publique ne permet de vérifier ses résultats sur plusieurs mois.
Où peut-on consulter gratuitement les pronostics de Dominique Cordier ?
Les pronostics de Dominique Cordier sont disponibles sur la radio RTL, sur certaines chaînes YouTube comme CanalTurf (notamment ses anciennes vidéos), ainsi que parfois dans la rubrique hippique du journal Le Parisien ou sur des forums spécialisés. Il n’existe cependant aucun site officiel répertoriant l’ensemble de ses pronostics.
Est-ce que Dominique Cordier a un bon taux de réussite ?
Aucune statistique officielle ne permet de le vérifier. Contrairement à certains outils modernes, ses pronostics ne sont pas suivis ni archivés avec des indicateurs comme le taux de réussite, la rentabilité ou les écarts. Il est donc impossible de juger objectivement de leur performance à long terme.
Peut-on gagner de l’argent en suivant uniquement Dominique Cordier ?
Rien ne prouve que ce soit possible. Sans analyse chiffrée, il est risqué de miser régulièrement sur des sélections non mesurées, surtout lorsqu’elles concernent la course du Quinté+, l’un des paris les plus difficiles du PMU.
Quelle est la rentabilité du pronostic de Dominique Cordier ?
À ce jour, aucun chiffre officiel ou tableau de suivi public ne permet d’évaluer sa rentabilité réelle. Ce manque de transparence est problématique pour tout turfiste souhaitant jouer de façon stratégique.
Le pronostic de Dominique Cordier est-il meilleur que celui du PMU ou d’autres sites ?
Difficile à dire, car ni l’un ni l’autre ne fournissent de données chiffrées fiables sur leur efficacité. Une étude réalisée par Turf Factory sur le pronostic PMU a révélé un taux de rentabilité de 84 %, soit 16 % de pertes à masse égale. Rien n’indique que celui de Cordier fasse mieux… ou pire.
Pourquoi est-il dangereux de suivre un pronostic sans données ?
Parce que vous jouez à l’aveugle. Sans connaître les performances réelles (rentabilité, écart, taux de réussite), vous ne pouvez pas savoir si vous perdez par malchance ou par structure, ni comment réagir. C’est ce flou qui fait perdre la majorité des turfistes.
Existe-t-il une alternative aux pronostics classiques ?
Oui : Turf Factory. C’est une plateforme en ligne qui vous permet de créer, tester, mesurer et ajuster vos propres stratégies de jeu sur plusieurs années d’historique. Vous avez ainsi le contrôle total, avec des indicateurs clairs : rentabilité, écart, rapport moyen, gestion financière… Fini le jeu dans le noir.

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